mardi 14 février 2017

Nina en colère

Autant te le dire tout de suite, cher ami, cette histoire m'en a fait baver ! Mais qu'est-ce qui m'a pris de vouloir écrire sur la colère ? Hein ? HEIN ? Pourquoi ?
Parce que sous ce vocable que tout le monde semble comprendre du premier coup se cache une arborescence luxuriante comme une forêt amazonienne.
Y-a-t-il une ou des colères ?
Des légitimes et des répréhensibles ?
Il en existe des auto-centrées, des altruistes, des généralistes, des spécialisées, des rentrées, des spectaculaires, des explosives, des lentes... Bref, à un moment, je me suis dit que j'aurais aussi vite fait de réécrire la célèbre chanson de Pierre Perret sur un sympathique attribut masculin.
Alors, je me suis demandé ce qui était le plus difficile à gérer, à dépasser, à transformer.
La colère contre soi.
Ouf !
Ma pauvre petite Nina, ma Ninotchka ! Ca va passer, va...


Il était trois fois... Boucle d'or

J'adore les contes détournés. J'adore les contes. Alors, pourquoi, oui, pourquoi ai-je choisi d'écrire trois variations autour de "Boucle d'or", une des seules histoires qui m'éneeeeeeerve vraiment ?
C'est vrai quoi ! Je n'ai jamais éprouvé beaucoup de sympathie pour cette gamine qui entre comme ça, tranquillou chez les gens, leur bousille leurs affaires, goûte à tout et n'aime rien et qui finit par s'endormir sans la moindre culpabilité dans le lit d'un petit enfant innocent. Et puis cette fin en eau de boudin, franchement !
C'est peut-être bien pour ça que je l'ai choisie, la Bouclette ! Je lui ai fait un sort, je lui en ai fait voir de toutes les couleurs. Je me suis bien amusée.
On est quittes, Bouboucle !
(chez Nathan, merci à mes super éditrices !)

Mon catalogue de numéros (bis repetita)

                                               Il arrive parfois qu’un maître, une maîtresse, un bibliothécaire ou une documentaliste (chang...